Commençant dans un ton très formel avec des couleurs assez sombres, le défilé de John Lawrence Sullivan retourne vite la situation en introduisant un grand nombre de couleurs. Vert émeraude, vert d'eau, bleu turquoise ou encore bleu nuit tout est là pour égayer la silhouette. Apportant du peps à la collection, on retrouve des pantalons aux coupes larges pour assurer le mouvement, auxquels on associe facilement une veste ou un blazeur cintrés pour mieux contraster. Texture peu souvent utilisée dans le vestiaire pour homme, on retrouve ici une part large accordée au satin qui accentue la force de la couleur par des effets de brillance. On notera la présence de plusieurs pièces en tartan et cela même jusqu'à la doudoune ! Idem pour le velours que l'on retrouve aussi bien sous forme de pantalons que de vestes. Un petit plus pour les accessoires : bagues et pochettes.
On retiendra: ce jeux de couleurs qui contraste entièrement avec le caractère austère que l'on a pu observer à Milan par exemple.
La pièce sublimatrice: très certainement la coupe des pantalons. On affectionne aussi beaucoup les T-shirts assez près du corps avec un col roulé.
On retiendra: ce jeux de couleurs qui contraste entièrement avec le caractère austère que l'on a pu observer à Milan par exemple.
La pièce sublimatrice: très certainement la coupe des pantalons. On affectionne aussi beaucoup les T-shirts assez près du corps avec un col roulé.
Bilan: au vestiaire relativement classique mais toujours revisité, John Lawrence Sullivan sait impulser une certaine forme de dynamisme et de modernité.
